Pensez vert pour gérer vos odeurs à la chasse !

Tout le monde sait qu’il est important de gérer ses odeurs lors de la chasse à l’orignal ou au chevreuil. Ces bêtes ont un fin odorat et il faut mettre toutes ses chances de son côté. 

J’utilise, comme bien des chasseurs, le vieux truc d’enfermer mes habits de chasse avec des branches de sapin baumier dans un contenant fermé. Mais je me demandais comment gérer les odeurs de mes autres vêtements, sans oublier le savon pour mon corps et mes cheveux.

Je suis très content d’avoir pensé visité Vert Essentiel, un commerce qui vend des produits naturels en vrac ou en bouteille, pour la peau et la maison. J’ai pu mettre la main sur du savon au sapin baumier fait à la main au Québec ainsi que du savon à lessive inodore auquel je peux ajouter des gouttes d’huiles essentielles de sapin baumier. 

En fait, je me suis constitué un petit kit de savon pour la peau et les vêtements aux odeurs naturelles de la forêt laurentienne. En plus, c’est doux et bon pour la peau ! Et ce n’est pas si cher que ça… et c’est fait au Canada.

Merci à l’équipe de Vert Essentiel pour votre aide précieuse dans la préparation de ma chasse au gros gibier !

  

Recettes pour gibier

 Saviez-vous que la Fédération des chasseurs et pêcheurs du Québec ont des livres de recettes de gibiers gratuits sur leur site web en format pdf? Celui de l’orignal inclus une détail des coupes de viande… Pour les bouchers en herbe 😊 
Aussi d’intérêt, le site Bon Apétit de la Bibliothèque nationale à Ottawa qui présente des livres de recettes Canadiens du 19e siècle. Certains contiennent des recettes de gibier. 

  
(Source: BAC)

Jouer avec le feu : 3 hobbies pour les enflammés

Sans feu, il n’y a pas vie. Et pour les banlieusards en quête de passes-temps excitants, sans feu, il n’y a pas de plaisir. Un jour, je partagerai avec vous les règles officielles de la pétoncle ultime, qui se joue avec du feu, mais en attendant, je vous propose un petit survol de trois hobbies brûlants.
feu
Je rêve secrètement depuis longtemps de travailler le verre. Pas nécessairement de faire des vitraux (comme ces cours du magasin Studio de verre) mais sa version plus embrasé : souffler du verre liquide. J’ai vu une pub d’Espace verre dans Le Devoir il y a longtemps et je regrette de ne pas m’y avoir mis avant d’avoir les enfants… Il y a aussi le programme plus complet en verre du Cégep du vieuxquand j’aurai vraiment du temps.

Du verre on passe au fer : les Forges de Montréal offrent initiations et formations en plus d’un programme plus complet. Pour un aperçu, voir leur site Youtube et cet article de La Presse. Pour trouver d’autres sources, voir la liste des ferronneries artisanales dans La Toile du Québec ou la liste des artisans québécois qui travaillent les métaux (site du Conseil des métiers d’art).

Tiens, je me demande quelle est la règlementation municipale en ce qui concerne l’établissement d’une forge dans mon jardin… peut-être en attenant, voici une troisième option ardente.

Qui dit brûler dit feu mais aussi produits chimiques. Quiconque a vu le film (ou lu le livre!) Fight Club en sait quelque chose. Ainsi, faire son propre savon peut titiller son apothicaire en herbe. À Montréal encore, la Coop Coco propose des formations et produits pour confectionner son propre savon. Malgré mes recherches, leur site ne contient pas la liste des règlements des arènes clandestines de combat à main nues… ça doit être dans l’espace du site pour les membres.

Sérieusement, je viens de m’abonner au blogue Savon populaire, qui a l’air d’être de la même gang que Coop coco… Je rêve de trouver un savon fait local avec des ingrédients du Québec. En fait, j’ai acheté un savon shampoing mystérieux à l’arôme de «cèdre» pour gérer mes odeurs lors de la chasse mais j’aurai préféré quelque chose de plus… sûr. Tiens, un savon ou shampoing de sapin baumier… à ajouter sur ma liste de choses à apprendre à faire avant de mourir.

Gin-tonic de chez nous

Je viens de découvrir un excellent Gin, l’Ungava, fait au Québec en plus !

20130628-164045.jpg
Selon le site

Ungava Premium Dry Gin voit le jour à la frontière de la toundra et de la banquise, entre terre et glace.

Il puise sa distinction dans l’origine arctique des 6 plantes aromatiques naturelles qui composent son bouquet. Récoltées à l’état sauvage, elles offrent toute la quintessence de leurs arômes. Cueillies à la main pendant l’été sur les vastes étendues nordiques et ensuite infusées selon un savoir-faire artisanal, elles donnent naissance à un gin authentique au goût unique.

Je crois que mon été sera aux couleurs du Brésil : jaune pour ce gin succulent fait d’herbes du nord et vert pour la lime qui l’accompagne si bien.