La jalousie, pour moi, sera éternellement l’image de mon beau frère avec son porcelet. Surnommé Rôti, ledit animal a passé de bonne compagnie à bonne… fourchette. Il faut dire qu’il y avait de la place là bas, avec cette pourvoirie scisse sur 110 km2, 18 huskys et 4 chevaux, le nouveau venu a su trouver sa place. Surtout qu’à la fin, il assurait côté volume :
Après avoir terminé les restes de tables et autres végétaux variés, ainsi que la belle saison, ce fut le temps de visiter le boucher. Histoire cocasse, il était tellement maigre, ayant été aimé et ayant profité du territoire, que le boucher a dû le faire faisander un peu plus longtemps que les autres cochons avec qui il a affaire. Résultat : plus de 150 lbs (75 kg) de viande, de qui remplir son congélateur !
Très bien comme diète rapprochée (1 mile diet). Merci Rôti, tu me manques déjà !
À chaque famille son cochon – comme à l’époque (voir cet excellent article de Philippe Mollé sur le site du Devoir sur le cochon familial jusqu’au 19e siècle, que l’on « tuait pour l’année »).